Les
voici donc en chœur
la
main sur la poitrine
avec
une sombre mine
censée
venir du cœur
chantant
au tralala
pour
exiger de nous
qu’on
offre à leur chouchou
nos très
précieuses voix.
Danger
fasciste, alerte !
Crient-ils
de leurs châteaux :
craignez
le brun drapeau
gardez
la France ouverte.
Aux
urnes sans traîner !
Intiment-ils.
Au vote
pour
garantir la côte
de
l’avenant Banquier.
Je
dis : la belle affaire !
Pour
repousser la blonde
faudrait
danser la ronde
devant
l’escroc d’affaires ?
Faudrait
céder presto
à la
pensée unique
au
choix catastrophique
du
Prince de l’Ego ?
Faudrait
livrer nos âmes
aux Sires
de la Cour
qu’ont
concocté ce tour
d’un
vieux truquage infâme ?
Faudrait
pour être ouvert
mouton
suivant mouton
sauter
à l’unisson
de
la falaise en mer ?
Faudrait
s’incinérer
par
auto combustion
dans
l’Urne - Crémation
de
notre liberté ?
Ah
non, grandieu, jamais !
Notre
riposte est claire
via
les chemins de l’air
au
joli mois de Mai.
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